L'inflation est derrière nous : maintenant, les multinationales vont devoir baisser les prix !

C’est la thèse sous-jacente d’un éditorial dans La Correspondance de L’Enseigne (05/09/2011). Parce qu’il serait exempt de certaines contraintes administratives (autorisation d’urbanisme commercial, aménagement et règlement sécuritaires préalables à l’ouverture d’une surface commerciale au public,

On s’en souvient : l’Autorité de la Concurrence s’est fendue en 2010 d’un rapport proposant plus de concurrence entre les enseignes (ce qui est bien) en transformant les groupements d’indépendants en auberges espagnoles (ce qui nous a semblé débile). Nous avons dit tout le mal que nous pensions d’u

Villepin/Chirac : C’est reparti, les revoilà tous les deux poussés dans le shaker médiatico-judiciaire. Après le bouquin de Péan et son lot de témoignages (dont celui de Michel de Bonnecorse, ancien conseiller Afrique de Jacques Chirac), c’est l’avocat, Robert Bourgi qui se répand.

Pouvoir d’achat : Les enquêtes, qu’associée au BIPE notre enseigne publie chaque année, ne laissaient aucun doute. Le pouvoir d’achat effectif des Français est à la baisse. Nous rejoignons l’analyse publiée cet été par « 60 Millions de Consommateurs ».

Traquer les déficits, réduire la dette en relevant les impôts, les cotisations, ou en pratiquant de sombres coupes budgétaires : voilà le débat public servi aux Français depuis deux mois. Voilà la politique française réduite à un débat de comptable. Cherchez bien : projet d’aide à la dépendance ?